Un peu comme George Lazenby est à la saga James Bond, le Muscat cherche à trouver sa place dans l’inconscient populaire et sur les tables des français pendant la période de l’Epiphanie. C’est en tout cas le pari qu’on fait une partie des producteurs de Muscat ces dernières années : devenir l’accompagnateur indispensable de la Galette des Rois.
Pour ne rien arranger je ne suis pas un grand fan du Muscat, trop doux et sucré pour mon palais (question de goût personnel). Mais cet Epiphanie 2015 m’a fait découvrir que le Muscat pouvait être également sec ou bien pétillant :
- Sec tout d’abord, comme ce Muscat corse d’Yves Leccia. Il peut ainsi accompagne des mets plus acidulés, comme cette galette citronnée de d’Eric Kayser :
- Pétillant ensuite avec la Clairette de Die Tradition Bio de Jaillance, qui exhale les saveurs de la galette de Raoul Maeder : mascarpone, crème d’amandes, pépites de chocolat Valrhôna :
Au final de bonnes surprises et d’excellentes galettes qui m’ont permis de redécouvrir comme il se doit le Muscat. Une année 2015 qui commence bien!
LE JOURNAL À BORD DU VIN PARFAIT 