Pouvait-il y-avoir plus belle surprise le 6 juillet à mon bureau ? Outre que c’était le jour de mon anniversaire, il y avait ce soir-là le match France-Uruguay, qui fut une étape décisive vers la deuxième ⭐ des Bleus.
“Fat Bastard” aurait été prononcé par la première fois en 1998 par l’oenologue Thierry à son agent anglais, friand de vins un peu punchy et qui sortent des sentiers battus : “now zat iz what you call eh phet bast-ard”. En lui sortant et faisant déguster ce vin expérimental, il ne savait pas encore qu’un brand puissant été né, qui fait aujourd’hui 3,5M de cols dans 35 pays, dont historiquement les USA et le Canada. Pendant ce temps là, la bande à Zidane était en train de conquérir la première ⭐ de la France…
Ainsi pour fêter ses 20 ans d’existence, Fat Bastard a sorti une série de 6 éditions limitées : Love, Sports, Summer, Beach, Halloween, Winter. Vous l’aurez compris, je vous parlerai de l’édition Sports, dégustée pendant la deuxième mi-temps de la finale de Coupe du Monde contre la Croatie (en première mi-temps elle refroidissait, et de tout façon…trop tendu).
La bouteille est ouverte facilement à la mi-temps avec son bouchon à vis . Mais les gorges sont encore serrées, la France mène certes 2-1, mais est en grande difficulté. Finalement le but de Pogba nous soulage tous, et le 4ème but de Mbappé crée l’explosion 💥 Alors on boit à grande gorgée ce Sauvignon Blanc frais et gouleyant, il est fluide et direct comme l’équipe de France à présent, il ne triche pas avec son cépage et en a toutes les caractéristiques fruitées. Un petit style nouveau monde me direz-vous ? C’est exact, mais c’est justement pour son ouverture d’esprit “made in France” qu’on le choisit pour représenter la France qui gagne. Les Bleus sont désormais Champions du Monde pour 4 ans, et notre Sports Edition est bien vide. On r’met ça ?